Face aux agressions majeures que subit en ce moment Israël de la part de ceux qui se sont positionnés comme ses ennemis, nous exprimons notre soutien au peuple Israëlien et à leurs proches partout dans le monde et particulièrement à Genève.
Nous nous tenons dans la prière et nous dénonçons cette déclaration de guerre déclenchée par le Hamas dont l’objectif, inscrit dans sa charte même, est de détruire l’Etat d’Israël et le peuple Juif. Cet acte de guerre ne peut être perçu comme une guerre de libération. La cause du peuple Palestinien reste un prétexte ne justifiant en aucun cas les actes de barbarie commis aujourd’hui.
Nous sommes très préoccupés par le relais qu’en fait la presse romande, notamment la Tribune de Genève et le Temps dans leurs éditions du 7 octobre.
Le premier, qui dans son titre met l’accent sur les victimes de la riposte de l'armée Israélienne avant tout.
La riposte de l’armée israélienne a fait au moins 198 morts à Gaza
Le second, sous la plume de Nicolas Rouger, établit une comparaison inacceptable entre les kidnappings de civils innocents et les arrestations par les forces de l’ordre de personnes dans des contextes de violences urbaines.
Les images d’hommes du Hamas emportant méthodiquement des dizaines d’otages civils et militaires dans la bande font froid dans le dos du côté israélien. Pour les Palestiniens, elles font aussi bizarrement écho à ces arrestations quotidiennes de Palestiniens par l’armée israélienne.
Nous espérons que nos représentants politiques prendront la mesure de la menace qui est exercée actuellement sur Israël et mettront en oeuvre les mesures nécessaires pour protéger les communautés juives afin de couvrir le risque d’éventuels débordements de personnes fanatisées.
Toutes nos pensées vont vers tous ceux qui subissent de plein fouet la violence dramatique de cette guerre et vers tous leurs proches.
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